jeudi 31 décembre 2009

2009 ?

Probablement l'année la plus étrange que j'aie jamais vécu. Il s'est passé des tonnes de choses marquantes, bonnes et mauvaises, mais la simple pensée d'en faire une rétrospective me donne le vertige.

À l'image de l'économie, donc, j'annonce que mon année 2009 ne pourra être incluse dans les comparatifis futurs, étant donné la très haute versatilité des événements l'ayant marquée.

Je vous souhaite le meilleur de ce que la vie à a vous offrir pour la nouvelle année. Santé, bonheur, argent, amour, Kylie, et peut-être un peu de Dannii aussi. Savourez chaque moment !

Et vous, votre année ?

lundi 21 décembre 2009

Un peu de sérieux !

Oooooooooooooooooooooooooooooooh.

C'est vrai, cette fois-ci. Mon deuxième retour à l'école est imminent et, malgré l'excitation et la satisfaction d'avoir été admis dans un programme hyper-contingenté, je commence à me rendre compte que je vis présentement la fin de temps « libres ». J'utilise les guillements car je ne crois pas être une personne nécessairement oisive. Une job à temps plein , une job à temps partiel, mon chum, mon blogue, Kylie, et la planète entière à séduire... ouf ! Va falloir rajouter deux cours par semaine à cet horaire. Et va falloir aussi sacrifier une journée de weekend pour étudier et faire les devoirs. Finies les frivolités qui hypothèquent toute la fin de semaine ! Enfin, sauf celles qui seront judicieusement débattues et planifiées. Finis aussi les weekends à vacher, à rien faire d'autre que manger, dormir, être joli, rire, boire, critiquer, faire l'amour et regarder les Simpson (pas nécessairement dans cet ordre).

Eh bien j'm'en fous, parce que j'vais réussir. Ça, c'est clair. J'aime bien me fixer des objectifs quasi-démesurés : c'est le meilleur truc pour me motiver. Je suis quelqu'un de très perspicace, vous savez ! Vous demanderez à mon homme, il vous le confirmera. ;o)

lundi 14 décembre 2009

L'équilibre

Il y a un questionnement qui revient me hanter périodiquement. Une remise en question à cause de laquelle je m'imagine être un monstre immature et insupportable nécessitant trop d'attention. Bon, je demeure réaliste : on a tous nos bibittes. Avoir des doutes sur sa personne et avoir en tête un idéal à atteindre, il me semble que c'est humain.

Je croyais que l'un de mes désirs les plus sincères était de devenir équilibré.

Après mûre réflexion, je me suis rendu compte que j'idéalisais le concept d'équilibre et que mon interprétation à ce sujet était inexacte.

L'équilibre, des fois ça en prend, et des fois il faut s'en passer.

Je repasse cette phrase dans ma tête encore et encore, et je n'en finit plus de la trouver belle. Ces quelques mots mis en contexte ont quelque chose qui vient me rassurer au plus profond de mon être.

Ce que je croyais être équilibré ne l'était en fait pas du tout. En fait, ça l'était, oui, mais trop. Je veux dire, que ça soit d'un bord ou de l'autre, du côté du trop ou du pas assez, c'est là qu'il faut faire attention.

Peut-être que c'est irréaliste de penser qu'un jour on va vraiment apprendre à dealer avec soi-même, je ne sais pas. Ce dont quoi je suis désormais convaincu, c'est que tant que je prendrai du plaisir à me découvrir et à apprendre à négocier avec moi-même, je serai équilibré. Si je passe à l'étape suivante, tant mieux.

Bonne nuit mes enfants :o)
Capitaine C.
xx

mardi 8 décembre 2009

Petite allégresse pré-février

Vous savez quoi ? J'ai débuté ma vie professionnelle chez Desjardins, une institution pour laquelle j'ai toujours beaucoup d'affection. Stupéfait d'avoir un gestionnaire jaloux et peureux, et encore plus incrédule de réaliser que mes interventions à ce sujet n'étaient pas prises au sérieux par sa gestionnaire, j'ai fait une grande scène et j'ai vogué vers une illusion qui s'est avérée être une catastrophe notoire. J'ai été travailler pour la banque Scotia.

Au risque de me faire poursuivre (j'en ai déjà vu d'autres), je clâme haut et fort ma certitude selon laquelle cette « banque » est runnée par une bande d'amateurs impérialistes anti-francophones pro-vie élitistes de droite accusant de nombreux retards aux niveaux intellectuel et humain, entre autres choses.

Je m'éloigne de mon sujet (comme à l'habitude). Me demander d'abandonner mes invectives passionnées serait l'équivalent de demander au pape d'abandonner son côté religieux.

Je voulais simplement prendre quelques secondes pour partager avec vous la joie que je ressens en songeant à un mois de février où j'aurai du temps libre. En effet, ces sept années passées dans le domaine bancaire m'auront fait vivre le calvaire pendant l'une des périodes les plus difficiles pour l'être humain : la fin de l'hiver. Je n'ai rien contre l'hiver, remarquez. Sauf qu'après deux-trois mois, j'me tanne, j'suis prêt à passer à autre chose, quoi.

Imaginez, un instant, être OBLIGÉ de faire du temps supplémentaire alors que la température vous a déjà transformé en créature pâlotte à la complainte trop facile. En gros, on exigeait de moi - et de mes collègues... it's not always about me - une heure d'overtime à chaque jour pendant les deux premières semaines de Févrichier (un petit surnom que je viens d'adopter à l'instant). La semaine suivante, eh ben, c'était deux heures par jour. Et la dernière semaine, tel que stipulé dans le best-seller Comment détruire toute possibilité de rébellion chez la main-d'oeuvre en manque de soleil et de vie sociale en dix étapes simples, on ne se risquait à aucun engagement avec comme faible justification les mystérieux et glauques besoins d'affaires. Capables de prévoir quand est-ce que l'économie va reprendre, mais capable de faires des osties d'horaires qu'y'ont d'l'allure. Fuck off !

Mes amis, j'anticipe avec grand enthousiasme (alerte au possible pléonasme !) l'année 2010, la première depuis trop longtemps déjà où ma qualité de vie ne souffrira pas des incorrigibles procrastinateurs qui s'obstinent machinalement à ne pas vouloir profiter des nombreux bienfaits des virements automatiques. Votre détermination n'a d'égal que votre insensibilité face aux travailleurs du domaine de la finance.

À tous mes anciens collègues : que le Dieu bancaire soit avec vous... et avec votre esprit.

samedi 5 décembre 2009

Je vais bien !

Votre Capitaine a eu une surprise très agréable ce matin ! Eh oui, un commentaire à propos de ce blogue. Un commentaire positif, je vous rassure ! C'était tout à fait inattendu, considérant l'absence de mises à jour actuelle...

Au risque d'être redondant, je voulais simplement prendre quelques minutes pour vous dire que je suis toujours là, quoique plus discret que ce à quoi je vous avais précédemment habitué. C'est que, voyez-vous, mon nouveau travail ne me laisse pas la même latitude que j'avais auparavant. Je m'y amuse follement, soit dit en passant ! Je me sens stimulé et valorisé.

Également, j'ai une bonne nouvelle à partager : je retourne à l'université ! That's right ! Je me suis inscrit au certificat en communications à l'Université de Montréal. J'anticipe de grandes choses...

À suivre, donc ! Bon samedi !!
Votre Capitaine, xx